Collection Soumise. Fille De (5/15)
Contact pris avec Mariane, mieux même, jai lun de ses seins dans ma bouche, elle mappuie sur la tête pour que je laspire plus fortement alors quelle se présente presque nue devant moi.
Ce nest pas bien, mais cest si bon, tu sais pour le curé, je suis une jeune fille et quelquefois, mon sexe me démange et je me caresse, je ne leur ai jamais dit.
Je relève la tête.
Regardez cette fille qui vit dans le pécher !
Arrête, ne te fiche pas de moi, tu peux recommencer sur mon autre sein, jignorais quune fille pouvait donner autant de plaisir à une autre fille, je comprends mieux que Solène ma copine à Berlin préfère les filles.
Et si je mets la main ici, vas-tu te sauver en courant ?
Je pose ma main sur sa petite culotte à la hauteur de sa chatte, je ne pensais pas arriver à mes fins si rapidement, il ny a pas une heure que lon se connaît.
Deux cas de figure, soit monsieur Joseph ignorait les penchants pour Mariane pour les femmes, soit le fait dêtre seule dans cette maison a échauffé ses sens, un point tout de même, je sens quil faut que je prenne toutes les initiatives.
Je prends ma deuxième main et je lui lève la tête pour avoir ses yeux dans mes yeux et japproche mes lèvres des siennes, elle ne tourne pas la tête, mieux, elle avance les lèvres et nos langues se trouvent.
Je me crois autorisée à aller plus loin, je glisse ma main entre slip et peau, je sens quelle frissonne, je sens son sein sur ma main qui est restée en place, la chair de poule qui parsème sa peau est une victoire pour moi.
Cest à ce moment que tout bascule, elle se rejette en arrière.
Que fait-on, on est folle, qui es-tu, tu es le diable, part ?
Elle sécroule sur la chaise voisine et croisant ses bras, pose sa tête dessus comme pour se cacher, jentends quelle tombe en sanglots.
Arrête Marianne, je tai choqué.
Non, jai trop aimé, cest pour cela que je suis en sanglots.
Je tombe à ses genoux, il faut que je reprenne la main, si je pars, il faut que je reparte pour Paris, mais comme la pugnacité est une de mes forces de caractère, je lui reprends la tête.
Regarde-moi Mariane, soit sereine, je comprends, à ce jour, tu avais des convictions qui tavaient été inculquées depuis ton plus jeune âge, ton corps qui appelle le bonheur, mais surtout au plaisir, sans oublier que si tu as pris lhabitude de te masturber en y prenant du plaisir, tu es quelques appréhensions.
Jai déjà joué au poker avec des copines, je décide de jouer tapis, au risque de tout perdre.
Je vais te laisser, je vais aller chez ma grand-mère, ce soir à vingt heures, je vais revenir, tu laisseras ta porte ouverte pour que jentre, deux possibilités. Jarrive dans cette salle à manger, tu auras prépater un bon repas avec ces deux chandeliers que je vois sur ta cheminée que tu placeras allumée sur la table afin de créer lambiance.
Toi tu seras nue, je me dévêtirais, je minstallerais en face de toi et nous dégusterons ton bon repas.
Deuxième possibilité dont je suis sûr que tu la repousseras, la table sera nue, les chandeliers seront éteints toujours sur leur cheminée, en signe de défaite pour toi et tu seras habillée.
Je tournerais les talons, définitivement, je disparaîtrais de ta vie, en retournant un jour à Paris après tes études, ton père te mariera et tu seras prête à pondre leurs s vers où ton éducation faite de tabou te conduit inexorablement.
Je quitte la maison, lattente est longue, mais enfin arrive lheure de mon rendez-vous.
Je me mets nue et jenfile mon manteau que ma offert Pierre, mon amant, depuis que je le porte, il me porte chance, je mets juste mon porte-jarretelle et des bas noirs qui renforce la blondeur de ma chatte.
Des chaussures noires elles aussi à talons renforcent mon personnage de femme fatale.
Avec le manteau, jaime porter mes petites affaires dans un sac à main que monsieur Joseph ma offert juste au moment de nous quitter le jour où il ma donné mes instructions.
Il me permet davoir à ma disposition un mouchoir et surtout mon portable, bien qu'il soit éteint.
La porte est là, entrouverte, je me dépêche dentrer, trois jeunes gens passant derrière moi, à cette heure en hiver il fait nuit et je veux éviter de me retrouver en fâcheuse posture, bien que depuis que jai compris la salope que je suis une triplette de mecs ne me ferait pas peur.
Au moment dentrer dans la salle, je sais que mon pari est gagnant, les chandeliers sont allumés, la table est mise et Mariane est assise de dos, elle ne me voit donc pas.
Un détail positif sur les consignes que je lui ai données me fait énormément plaisir, je vois quelle a aussi mis des bas retenues par un porte-jarretelles, des talons hauts le tout entièrement blanc.
Elle a ôté sa bande, sait sein que je ne vois pas à ce moment doivent pointer avec arrogance, n'ayant besoin d'aucun soutien.
La première pensée quil me vient, cest que dans cette soirée entre fille, je vais être lange noir rencontrant son ange blanc.
Quand je mapproche, je vois quelle a mis sur ses yeux un bandeau aussi blanc que le reste de ses affaires, je mapproche, je dépose mon sac à main sur le meuble de la salle, jenlève le manteau, je lui pose une main sur lépaule et un simple baisé sur ses lèvres avant de prendre ma place à table, à lopposé de la grande salle.
La table est ancienne et doit valoir une fortune, toujours sans parler, nous commençons à manger l'assiette déjà servie, principalement de crudités, cela nous prend peu de temps, aussi quand jai fini, jattends quelle en ait fait de même.
Les yeux bandés cest plus difficile, elle en laisse quelle n'arrive pas à attr, sauf mettre ses doigts dans lassiette, nous sommes des filles de
avec un maximum déducation, elle évite de le faire.
Il faut passer aux choses sérieuses, jécarte mon assiette et mon verre de vin d'Alsace blanc que je nai pas touché qui contrairement à elle voulant certainement se donner du courage a tout bu.
Je monte sur la table à quatre pattes, je remonte les quelques mètres qui me séparent de ma proie, contournant les chandeliers et jarrive au-dessus de son assiette que jécarte, elle aussi.
La bouteille de vin est à côté de son verre, je le remplis et je lapproche de la bouche de ma future maîtresse, car nul doute que la petite a accepté de franchir les barrières que son éducation rigoriste lui refusait.
Japporte le verre jusquà ses lèvres, entre le glouglou du vin et le froid du verre, elle ouvre sa bouche, mais une partie tombe sur ses seins pour descendre jusquà sa fourche et venir faire une petite mare entre ses cuisses quelle sert tellement quil reste là.
Je descends mes jambes les posant sur ses épaules et lui prenant la tête, je lapproche de mon clito, elle est bonne élève et la pucelle quelle est me suce avec entrain et les grands coups de langue quelle finit par me faire menflamment.
Première jouissance de la soirée, mais pour moi, je la veux entièrement à ma merci afin que mes amants soient fiers de la salope quils ont créée pour que je les serve.
Je me replace sur la table, cette pièce de musée minspire, je prends Mariane par la nuque lui faisant comprendre ce que jattends delle, cest étrange, latmosphère est torride, est-ce le feu quelle a allumé dans la cheminée à lancienne ou nos corps qui ont soif le plaisir si longtemps réfréné pour elle.
Tous semblent irréels, nous sommes muettes depuis mon entrée.
Ce qui est sûr, cest que je mallonge sur le dos, le mettant en contact avec le froid du bois, elle se retrouvait sur moi, nos bouches se trouvant dans un baiser profond, mes doigts explorent son corps, mais très vite le faite dêtre en dessous limite mes initiatives.
Je suis dans la même situation que dans la cage de verre au club à la différence que cétait Femme qui pilotait notre partie de plaisir, je manque déclater de rire quand je cite le nom Femme avec une majuscule, il est vrai que jai baisé avec elle sans savoir comment elle sappelait.
La différence est de taille, je dois mener notre jeu ou étant prisonnière des bras de mon amante, je la fais basculer, au risque de nous retrouver au sol la plaçant pour un 69.
Elle comprend ce que jattends et je sens sa langue pénétrer mon intimité, jen fais de même avec elle, rapidement bien que ma chatte la muselle, je sens que je vais gagner, elle senvole vers le plaisir son sexe me le montant en menvoyant de petits jets de cyprine dans ma bouche.
Nous avons un orgasme simultané qui nous laisse pantelante.
Rapidement cest elle qui semble souffrir du dos, je la libère, elle se relève, arrache son bandeau, se lève, me prend la main, elle voit clair, mais sans pour autant parler.
Je sais quelle veut mentraîner sur sa couche, je saisis mon sac au passage, arrivé dans la chambre je le pose sur une cheminée qui est restée là, ou devant il y a un appareil très moderne qui envoie de lair chaud.
Nous nous écroulons littéralement sur son lit, je sais pour lavoir vu dans un film porno lesbien que les filles se frottent les chattes pour se donner du plaisir, je fais comprendre à mon aveugle ce que je désire et nous croisons nos jambes.
Face à face, sexe à sexe, clito à clito, je commence à faire tourner mon bouton sur son bouton et sa bouche étant libre, ce sont ses halètements qui montrent que mon traitement est efficace.
Il lest pour moi, comme pour elle et cest sans difficulté que je la fais jouir de nouveau avant que nous tombions dans les bras lune de lautre.
Combien de temps, ai-je dormi, je suis incapable de le dire, des fêtards sans la rue la réveille, elle aussi, elle a toujours son bandeau, jaimerais quelle le garde jusquà mon départ, le fait de ne rien voir, lui permettra davoir des souvenirs, venants seulement de ses pensées.
Je lui fais comprendre ce que je désire ou anticipe-t-elle mon envie, elle se met à quatre pattes devant moi et tortille sa croupe de manière très érotique.
Sa rosette, grâce à la lumière de la lampe de chevet qui était allumée lorsque nous sommes entrées, mappelle comme un aimant, javance la bouche, je le titille de lextrême pointe de ma langue, bien que Mariane ait une hygiène irréprochable.
Cest la première fois que je fais une feuille de rose à un être humain, mieux de ma maîtresse, je regarde mon sac, je pense que monsieur Joseph sera content.
Nous refaisons lamour avec nos doigts cette fois, dernière jouissance de la nuit.
Je me lève, lui ôte son bandeau, pour la première fois de la soirée nos bouches et nos regards se trouvent.
Merci
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